Alors voilà je vous retrouve enfin pour la deuxième partie, suite à mon premier article qui remonte à quelques mois avant l’opération dans lequel j’expliquais qu’elle était cette maladie … et j’avais prévu de partager mon expérience après l’opération pour aider les personnes qui comme moi ont certainement cette crainte de passer par la case opération mais au bout d’un moment n’ayant plus le choix cette décision droit être prise .

Alors l’opération devais avoir lieu le 1er septembre quand début aoûte ,l’hôpital m’appelle et m’explique quelle a été avancée au 26 août donc une semaine à l’avance.Je ne vous cache pas que ma peur a débuté à se moment le stress de l’opération plus l’organisation pour faire garder mon fils …
Étape 1
Donc avant cette opération j’ai eu des prises de sang à effectuer en laboratoire 1 semaine avant le rendez-vous anesthésiste après ça par apport au covid j’ai eu le test covid à faire 48h avant d’aller à l’hôpital test malheureusement désagréable mais obligatoire .
En quoi consiste l’opération
L’opération qui consiste à faire une excision large car je suis à un stade très avancé de la maladie et est pratiquée sous anesthésie générale. Cette opération permet d’enlever totalement les abcès et les glandes sudoripares pour limiter les récidives . ( petit paragraphe déjà évoqué dans la lutte contre Verneuil première partie)
Étape 2 J-J

Je suis arrivée à l’hôpital le 25 août la veille de l’opération pour être installée dans la chambre ,l’infirmière est venue remplir des documents en me posant quelques questions, elle m’a expliqué quelque petites choses concernant le bain avec la betadine rouge le soir et le matin avant l’opération, rester à jeun à partir de minuit … J’ai réussi à dormir un peu le soir même s’il y avait l’angoisse une nuit d’ailleurs vite passée. Le lendemain réveille à 5h ,les infirmières passent prendre la tension et la température… l’attente pour aller au bloc opération a été super-longue, cela m’a stressé davantage le faite d’être restée à jeun j’ai fait de l’hypoglycémie .Une fois que les brancardiers m’ont descendus ,juste avant d’entrer en salle, l’anesthésiste m’a installé une perfusion dans laquelle elle m’a injecté du glucose pour éviter que je fasse un malaise a cause de mon état .Après je suis rentré ,ils m’ont installé sur la table d’opération je me rappelle avoir respiré dans le masque à oxygène tout est devenu flou et puis je me suis endormi. Le réveil je n’ai rien compris j’ai trouvé étrange cette sensation car ça a été rapide j’arrivais pas à bien voir ,tout était flou pour définir mon état j’étais dans les vapes. Je me suis réveillé en ressentant la douleur à l’un des endroits qui venait d’être opéré ,j’arrivais pas à m’exprimer pour le dire alors j’ai fait un léger bruit avec ma gorge les infirmières en salle de réveille ont tout de suite compris que j’avais mal elles m’ont injecté de la morphine dans la perfusion suite à ça j’ai été soulager .Tout est toujours aussi flou, mais j’arrive enfin à parler avec les infirmières ,d’ailleurs je me rappelle vaguement de la discussion ensuite. Elles ont appelé les brancardiers ils m’ont ramené dans la chambre j’étais toujours dans les vapes j’ai repris sommeil et puis après ça allais mieux j’ai repris mes esprits. J’ai refait une nuit d’observation à l’hôpital ensuite comme ça allait je suis sortie le lendemain .


Voilà une semaine que j’ai eu l’opération au début le retour à la maison n’était pas facile avec les douleurs malgré les médicaments prescrits plus les changes de pansement effectués par l’infirmière à domicile faisant mal maintenant ça va mieux j’ai une visite par semaine à l’hôpital pour voir le médecin de façon à ce qu’il regarde la progression de la cicatrisation.

Petite pensée 💌merci au service chirurgie reconstructrice
Cet hôpital et ce service en chirurgie plastique et reconstructrice de mangot vulcin les infirmières et infirmiers, médecins vraiment sont super patients, gentilles, agréables et je tiens à le signaler parce que quand c’est bien il faut le dire aussi, souvent quand ce n’est pas bien nous avons tendance à le dire car parfois à l’hôpital ou dans des sociétés il arrive que nous tombions sur des personnes sauvages qui n’ont pas le temps qui ne sont pas à l’écoute.
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